New Delhi, au lendemain de la grande fête des lumières hindoue de Diwali et ses traditionnels millions de pétards. La pollution atmosphérique a atteint l’un de ses pics de la saison dans la capitale indienne, malgré l’utilisation de pétards « propres ».
Pour tenter de limiter la détérioration de la qualité de l’air, la Cour suprême indienne n’avait autorisé la vente à Delhi que de pétards considérés comme « propres ». Elle avait par ailleurs limité l’usage de pétards à une fenêtre entre 20 heures et 22 heures mercredi soir. Mais ces restrictions semblent avoir eu peu d’effet. Les explosions de pétards, bien que semblant moins répandues que les années précédentes, ont duré jusqu’à tard dans la nuit et épaissi un air déjà vicié.
Drone video shows the Indian city of Ayodhya breaking a Guinness World Record by lighting more than 300,000 clay oil lamps on the eve of the Hindu festival Diwali https://t.co/OqA5m0G0eB pic.twitter.com/fDAP0hJx38
— CNN (@CNN) November 8, 2018