Le 22 octobre 2024, le gouvernement du Québec a envisagé de mettre fin au changement d’heure, annonçant une consultation publique prochaine. Un consensus émerge en faveur de l’abolition, le changement d’heure entraînant divers effets négatifs tels que le manque de sommeil et une hausse des troubles cardiovasculaires.
La question demeure : quelle heure adopter en permanence ? La science plaide en faveur de l’heure normale, qui s’aligne mieux avec nos horloges biologiques. L’argument de l’heure avancée, qui viserait à augmenter la lumière du soir, néglige l’importance de la lumière matinale pour le bien-être et la santé.
Un décalage entre nos rythmes biologiques et nos activités pourrait entraîner des troubles de santé, affecter la productivité et nuire à la performance scolaire des enfants. De plus, l’argument économique derrière l’heure avancée n’a jamais été prouvé. Les chronobiologistes recommandent donc l’adoption de l’heure normale pour favoriser la santé publique et éviter des problèmes économiques.
