Le président américain laisse entendre que la procédure de destitution initiée par les démocrates à son encontre n’a aucune chance d’aboutir.
Pour le président américain, il n’y a « pas de pression, rien du tout ». Il conteste toute irrégularité après la publication du contenu d’un échange dans lequel il demande à son homologue ukrainien d’enquêter sur son rival Joe Biden. Cet échange, « accablant » pour les démocrates, met en difficulté le 45e président américain, désormais menacé par une procédure de destitution explosive.
Visiblement fatigué, presque abattu, il a tenté de poser en président actif sur tous les fronts diplomatiques pendant que ses adversaires démocrates, animés par un désir de revanche, s’acharnaient, selon lui, dans des « chasses aux sorcières » sans fin. « Une destitution pour ça ? C’est une blague ! » a-t-il lancé lors d’une conférence de presse dans un hôtel new-yorkais proche du siège des Nations unies. « Les démocrates ont fait ça durant le semaine des Nations unies, c’était tout planifié… », a-t-il avancé.