Trois militaires ont été tués par arme à feu par un homme de 48 ans et un autre blessé, alors qu’ils tentaient de porter secours à une femme ayant trouvé refuge sur le toit d’une maison.
Trois gendarmes ont été tués et un quatrième blessé par un forcené, dans la nuit du mardi 22 au mercredi 23 décembre, dans un hameau isolé près de Saint-Just (Puy-de-Dôme), dans le centre de la France, alors qu’ils intervenaient pour des violences intra-familiales, le plus tragique événement de l’année impliquant les forces de l’ordre.
Le suspect, un homme de 48 ans, « a été retrouvé mort dans son véhicule, a priori un suicide », a indiqué à l’AFP l’entourage du ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, qui se rendra en fin de matinée à la compagnie de gendarmerie d’Ambert où étaient affectées les victimes.
Les militaires ont été blessés mortellement par arme à feu alors qu’ils tentaient de porter secours à une femme ayant trouvé refuge sur le toit d’une maison.
Les victimes sont le brigadier Arno Mavel (21 ans), le lieutenant Cyrille Morel (45 ans) et l’adjudant Remi Dupuis (37 ans), a indiqué le ministère de l’Intérieur dans un communiqué.