Des stars qui se protègent, rien de nouveau. Les Daft Punk sont allés jusqu’à masquer leur identité derrière des casques de robots. Pourtant, à leurs débuts, ils avançaient sans se cacher.
Des débuts à visages découverts
Si leurs casques de robots sont connus dans le monde entier, les Daft Punk n’ont pas toujours été si discrets sur leurs véritables identités. Thomas Bangalter et Guy-Manuel de Homem-Cristo sont très renommés dans le monde électro, tant au sein des Daft Punk qu’en tant que producteurs pour d’autres DJ tels Bob Sinclar pour « Gym Tonic ». Avant 1997, on les voit sans casques. Pendant dix ans, cette image de marque leur est inutile. « Homework » les propulse sur la scène et les casques deviennent associés à leur nom.
Daft Punk se robotise
Il n’est pas simple de percer dans la musique quand on n’a pas vraiment de visage. Pourtant Daft Punk s’est accroché à ses casques de robots et les a imposés. Le gros atout de ces masques est évidemment l’anonymat qu’ils offrent à leur famille et à eux-mêmes. Pas de ruées de fans à tous les coins de rue, mais une vie comme celle de tout le monde. Petit à petit, les robots prennent vie, comme dans le clip de « Around The World ».