L’ancien sportif avait frappé deux gendarmes lors du huitième samedi des «gilets jaunes», le 5 janvier. Mercredi, il doit répondre de ses actes devant les juges du tribunal correctionnel de Paris. Il risque jusqu’à sept ans de prison et 100.000 euros d’amende.
Il devrait expliquer qu’il a agi pour protéger une femme molestée par les forces de l’ordre. Des arguments balayés par l’avocat des deux gendarmes qui dénonce une violence gratuite.
Christophe Dettinger ne pourra échapper à une condamnation mais ses représentants espèrent qu’il aura une peine juste. Du côté des forces de l’ordre, on attend un verdict sévère.