Le 1er novembre, la militante écologiste suédoise Greta Thunberg a exprimé de vives critiques à l’égard de l’ancien président américain Donald Trump, le qualifiant de « l’option la plus dangereuse » pour l’élection présidentielle américaine à venir. Dans un message publié sur son compte X, elle a souligné l’importance cruciale de cette élection pour l’avenir du monde, déclarant qu’il était « probablement impossible de surestimer les conséquences que cette élection aura pour le monde et pour l’avenir de l’humanité ».
Thunberg a également dénoncé l’administration actuelle des États-Unis, dirigée par Joe Biden et Kamala Harris, pour son soutien à Israël dans le cadre du conflit en cours à Gaza. Elle a mis en lumière la situation dramatique en Palestine, soulignant que le « génocide en Palestine se déroule sous l’administration de Biden », et a critiqué la légitimité de bombarder des civils, affirmant que de tels actes ne peuvent être considérés comme « féministes », « progressistes » ou « humanitaires ».
Cette déclaration fait suite à l’escalade des violences entre Israël et le Hamas, qui a éclaté le 7 octobre 2023, et a causé des milliers de morts, la majorité étant des civils, selon des sources officielles. Thunberg a conclu son message par un appel aux électeurs américains, leur rappelant qu’ils ne devaient pas se contenter de choisir « l’option la moins pire » lors des prochaines élections, un avertissement fort sur les enjeux humanitaires et environnementaux liés aux décisions politiques.