L’ex-ministre n’a recueilli que 11 votes, terminant dernière du scrutin de renouvellement de six des sièges des sénateurs des Français de l’étranger. Elle a de nouveau déploré «la stratégie de la division» du PS, qui lui a refusé son investiture.
Six sièges sur les douze étaient à renouveler. Et pour ce scrutin, Ségolène Royal, ancienne députée des Deux-Sèvres, ex-présidente de la Région Poitou-Charentes et ancienne ambassadrice chargée de la négociation internationale pour les pôles arctique et antarctique sous l’actuel président Macron, était candidate à l’un des sièges à pourvoir.
Pour se présenter, elle avait même repris sa carte au PS. En vain, puisque Mme Royal n’a recueilli que 11 voix sur 533 possibles dans cette élection où seuls les députés de l’étranger, les conseillers des Français de l’étranger et les délégués consulaires votaient.