La cour d’appel de Paris a jugé ce mercredi que le licenciement du trader, en 2008, était bien « fondé ».
La condamnation de la banque aux prud’hommes a donc été annulée.
Jérôme Kerviel, qui est débouté de ses demandes, ne touchera pas son bonus de 300 000 euros pour l’année 2007.
En 2016, le conseil de prud’hommes avait estimé qu’il avait été licencié « sans cause réelle ni sérieuse », et dans des conditions « vexatoires ».