Michel Barnier, en tant que Premier ministre, fait face à un défi fiscal majeur avec un déficit à combler, affectant les grandes entreprises et les Français les plus riches par une contribution exceptionnelle. Les critiques fusent, dénonçant une élite qui, tout en appelant à la solidarité nationale, reste en décalage avec la réalité des classes populaires.
La ministre de l’Éducation nationale, Anne Genetet, subit un bizutage médiatique dès son arrivée, peinant à affirmer sa légitimité dans un domaine qui lui est étranger. Malgré des tentatives de légitimer sa nomination par des références familiales à l’éducation, elle fait face à des erreurs de communication embarrassantes, notamment en annonçant un temps de recueillement pour les victimes des attentats en Israël sans avoir été correctement informée.
Entre une élite culturelle critique de la politique actuelle et une équipe gouvernementale en quête de compétences, le climat politique semble tendu et incertain, laissant planer le doute sur l’avenir des réformes proposées.