Cette nouvelle étude bat en brèche les conclusions de la thèse russe qui affirmait que la centenaire française avait été « remplacée » par sa fille.
Le record de longévité de Jeanne Calment, officiellement décédée à 122 ans en 1997, est bien valide, affirme une étude scientifique publiée lundi, qui se base sur de nouveaux documents et sur des modèles mathématiques pour réfuter l’hypothèse d’une supercherie avancée par des chercheurs russes.
L’idée que la Française, devenue mondialement célèbre à la fin du 20e siècle en raison de son âge extraordinaire, n’était pas Jeanne mais sa fille unique Yvonne Calment, qui se serait substituée à elle en 1934, est « sans fondement », affirment les chercheurs suisses et français qui cosignent ce travail dans le « Journal of Gerontology ».