Le musicien, visé depuis trois ans par une accusation pour agression sexuelle, a été relaxé le 8 juillet par la Cour d’appel de Paris. Son baiser à une adolescente de 14 ans est avéré, mais aucun élément ne permet d’affirmer « qu’il en aurait été l’initiateur ».
— Ibrahim Maalouf (@ibrahim_maalouf) July 25, 2020
Il est important pour moi de remettre le point sur le i de mon prénom », explique Ibrahim Maalouf dans un communiqué publié samedi 25 juillet sur son compte Twitter. Le musicien estime que « la couverture médiatique de cette décision de justice a été microscopique à côté de celle subie en 2017 lors de la révélation des accusations mensongères ».
Des informations relayées « sans respecter la présomption d’innocence »
Ibrahim Maalouf avait alors fait l’objet de nombreux commentaires sur les réseaux sociaux. « Nombreux sont ceux qui se sont permis de relayer (…) des mots, des articles ou des vidéos à ce sujet sans prendre la peine de rien vérifier et sans respecter la présomption d’innocence », détaille l’artiste dans son communiqué.
« La presse en a parlé en gonflant l’histoire, tout le monde a souffert et trois ans et demi plus tard, la justice a simplement fait son travail », affirme ensuite Ibrahim Maalouf.