Les symptômes les plus courants du coronavirus sont la fièvre ou la sensation de fièvre (fébrilité) et une toux sèche. Ce sont les deux symptômes les plus fréquents et que la majorité des patients malades auront seulement. Le Dr Fontanet précise :
« « Les patients passent tous par une journée de fatigue avec des douleurs musculaires. Le lendemain, c’est la fièvre, et assez rapidement la toux. Ensuite, il y a un essoufflement pour ceux qui développent une pneumonie. » »
« Il y a cet entre-deux des individus dits paucisymptomatiques. Ces derniers présentent des symptômes de faible intensité. Ils ont la gorge qui gratte, toussent un petit peu. Eux suscitent plus d’inquiétude, car ils sont potentiellement de grands fabricants de virus » et donc être très contaminants, explique au « Parisien » le docteur Matthieu Calafiore, médecin généraliste et directeur du département de médecine générale de l’université de Lille. Il existe également des porteurs totalement asymptomatiques, qui n’ont pas forcément conscience de pouvoir transmettre le virus.
La perte brutale de l’odorat, sans obstruction nasale et disparition totale du goût est également un symptôme qui a été observé chez les malades, surtout chez des personnes jeunes atteintes de formes non graves
Marine Le Pen veut que les médecins de ville puissent prescrire la chloroquine
« Je pense qu’il faut tout de suite donner la possibilité à tous les médecins de ville qui savent ce qu’ils font et connaissent les effets secondaires possibles de ce médicament, la capacité de le prescrire à ceux qui sont contaminés avec des symptômes peu graves », a expliqué la présidente du Rassemblement national du France Info.
« Si on peut éviter l’aggravation des cas, si on peut éviter ne serait-ce que 10 % de baisse des cas graves, cela voudra dire qu’on ne sera pas obligé de trier les gens à la sortie, qu’on ne laissera pas sur le côté, sans respirateur, sans aide, des personnes âgées parce qu’on n’a pas les moyens matériels de les soigner », a-t-elle fait valoir.
La pandémie a entraîné une baisse de près d’un tiers de la valeur de tranfert des joueurs des cing grands championnats européens, révèle une étude publiée ce lundi par l’Observatoire du football du Centre Centre International d’Etude du Sport (CIES) de Neuchâtel. La valeur totale de transfert des joueurs au niveau des cinq grands championnats diminuerait de 28%. Elle passerait ainsi de 32,7 à 23,4 milliards d’euros, dans le cas où aucun match ne serait joué et aucun contrat ne serait prolongé jusqu’à fin juin.
Principale victime potentielle, l’Olympique de Marseille dont la valeur de transfert des joueurs reculerait de 38% (perte de 97 millions d’euros), selon l’étude. Le PSG perdrait de son côté 302 millions d’euros. A l’inverse, le pourcentage de pertes le plus bas reviendrait au Stade Brestois (-16%).