Nicolas Sarkozy s'inquiète des "scènes de violence" lors d'un rare discours
Nicolas Sarkozy s'inquiète des "scènes de violence" lors d'un rare discours

Nicolas Sarkozy s’est inquiété lundi des «scènes de violence» qui «abîment» la République et a plaidé pour la «concorde», lors d’un rare discours à Romorantin où un millier de personnes étaient venues l’applaudir.

Devant des spectateurs arrivés pour certains plus d’une heure en avance dans la capitale de la Sologne, il a averti : « Ce qui ne s’exprime plus dans le cadre républicain tourne nécessairement au soulèvement partisan et à la violence sociale ».
Contre la « tyrannie des minorités »

L’ancien chef de l’État s’est également dit « inquiet de voir l’indifférence » gagner du terrain ainsi que « l’abstention, l’antiparlementarisme et la haine de l’autre », ces « quatre cavaliers de l’apocalypse républicaine » qui « sont toujours annonciateurs en France des pires troubles politiques ».

Rejetant la « tyrannie des minorités », il a jugé que « l’identité de la nation doit l’emporter sur les mémoires identitaires ». « Le communautarisme et l’esprit de clan sont nuisibles à la France et dire cela, c’est aimer la France », a-t-il lancé sous les applaudissements.

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