Âgé de 66 ans, l’ancien président a reçu une première injection début janvier à l’hôpital militaire Percy à Clamart, selon « L’Express ».
Une information surprenante alors que la vaccination est seulement ouverte aux soignants, aux moins de 75 ans et aux personnes atteintes de pathologies à risque. Contacté par l’hebdomadaire, l’entourage de Nicolas Sarkozy n’a pas fait de commentaire.
Dans son article, L’Express raconte aussi que l’ancien chef de l’État est agacé par les lenteurs de la vaccination. « Pardon mais il faut créer des vaccinodromes partout ! Comme j’avais fait ! », explique-t-il devant ceux qui lui rendent visite en référence à H1N1 en 2009.
« Vous vous rendez compte, on annule les gens pour leur deuxième injection ? ! », se serait-il encore indigné, demandant quand le vaccin russe Spoutnik-V allait être mis sur le marché.